dimanche 23 août 2009

-32- Les récits des lecteurs : une cure anti-tabac, efficace...



Aujourd'hui, c'est à Sandrine de nous raconter comment elle a réussi à arrêter de fumer. Un exemple édifiant qui pourrait faire des émules...


A la mort de mon père suite au cancer du fumeur, ma mère me fit promettre d'arrêter de fumer. Elle pouvait compter sur le soutien inconditionnel de mon mari, qui lui ne fume pas, et qui peste sans cesse contre les odeurs de tabac à la maison. Nous nous sommes mis d'accord sur un processus en douceur, avec des patchs à la nicotine pendant trois mois, puis arrêt complet. Toutes les cigarettes dont je disposais furent mises à la poubelle, et Thomas m'annonça que la moindre rechute serait punie d'une bonne fessée.

"D'ailleurs, c'est ta mère qui m'en a donné l'idée quand elle m'a avoué qu'elle aurait du t'en donner une bonne quand elle t'a vue fumer à 13 ans. Il faut dire qu'avec ton père qui fumait comme un pompier, il était difficile de te faire la leçon."

"Une fessée à treize ans, ça peut se comprendre, mais j'en ai plus du double, et je pense que ce n'est plus l'âge à recevoir ce genre de punition..."

"Parce que, à 59 ans, ton père avait l'âge pour mourir ??? En tous cas, moi j'ai pas envie de connaître ce que ta mère a vécu. Mais on parle dans le vide, car si tu ne recommences pas à fumer, tes fesses ne risqueront rien..."

A la maison, tout se passa relativement bien pendant deux mois. J'étais un peu irritable, mais Thomas était prévenant, s'occupait beaucoup de moi, et si je grignotais un peu trop de sucreries, je dépensais les calories superflues par une activité au coucher nettement plus intense, comme au tout début de notre mariage.

Au boulot, les choses étaient un peu plus difficiles. Je ne me suis jamais vraiment bien entendue avec ma supérieure hiérarchique, avec ses opinions toutes faites et ses certitudes. C'est une brave fille, mais elle adore jouer au petit chef. Le fait d'arrêter de fumer faisait que j'avais de plus en plus de mal à supporter ses exigences tatillonnes, et comme j'avais tendance à la rembarrer, elle ne me passait pas grand chose non plus. Un jour, un courrier est parti alors que j'avais oublié de corriger un paragraphe. Quand le client l'a appelée pour lui demander assez vertement quelques explications, elle m'a convoqué dans son bureau et passé une engueulade puissance 2. Je suis revenue dans mon bureau au bord des larmes, et comme ma copine descendait dehors pour en griller une, je l'accompagnais pour me changer les idées. Devant l'entrée de l'immeuble, elle me tendit une de ses clopes, et je ne pus m'empêcher de la prendre. Il se trouve que ma chef sortit à ce moment là pour aller à un rendez-vous. Comme nous étions vendredi après-midi, elle nous dit qu'elle ne rentrerait pas au bureau ce soir et nous souhaita un bon week-end.

Arrivée à la maison, je filais à la douche, changeait mes vêtements et passait dix minutes à me brosser les dents avant de sucer des pastilles de menthe. Je n'avais aucune envie d'avouer ma petite défaillance à mon mari, et de vérifier s'il mettrait sa menace à exécution.

Quand il rentra, tout était fin prêt pour le repas, et j'avais décidé de la jouer "séduction". Il me demanda si tout s'était bien passé.

"Oui, la journée a été assez calme, mais j'ai encore eu une petite altercation avec Guillemet."

"Elle va finir par t'avoir dans le pif. C'est ta chef, quand même..."

Le téléphone sonna alors que je sortais la salade de fruits du frigo. Thomas décrocha le combiné, et me le tendis en me disant "c'est ta chef", et avec un air étonné, il mit le haut parleur en route.

"Sandrine ? C'est Sylvie... Je m'excuse de t'appeler à cette heure, je viens juste de rentrer de mon rendez-vous. Je voulais me faire pardonner pour cet après-midi, je pense que j'y ai été un peu fort, surtout quand je t'ai vu recommencer à fumer..." Je vis Thomas me lancer des regards furieux... "...enfin, je ne voulais pas que tu passes un mauvais week-end à cause de cela... Je te laisse et à lundi..."

Avec une boule à l'estomac, je bredouillais des remerciements. Thomas me regarda avec un air sévère.

"Ma petite, faut qu'on cause..., mais à propos, ta chef n'a pas l'air si mal que tu veux bien le dire..."

En terminant le repas, je lui racontais mon après-midi, et lui affirmais que c'était la première fois. Mais le fait que j'ai tout fait pour lui cacher ma bêtise ne jouait pas en ma faveur. Il mit lui-même les affaires dans le lave-vaisselle, il partit dans la chambre mettre un T-shirt et un caleçon pour être à l'aise, et me fit signe de le suivre au salon.

"Déshabille-toi, et surtout retire ta culotte !!"

"Mais enfin, tu ne vas pas vraiment me fesser... Il doit bien y avoir un autre moyen..."

"Peut-être, mais c'est celui-la que j'ai choisi. Alors, si tu n'es pas contente, appelle ta mère et demande lui son avis. Si elle désapprouve, je te laisse à tes cigarettes, sinon, je double la dose..."

"Laisse ma mère en dehors de ça. Cela nous concerne, nous, mais être fessée comme une gamine, ça me gonfle..."

"Ne t'inquiète pas, je ne vais pas te fesser comme une gamine. Une gamine prendrait une quinzaine de bonnes claques sur les fesses. Toi, tu vas avoir droit à une vraie fessée d'adulte, responsable de ses actes, désobéissante, menteuse et dissimulatrice. Même si je dois avoir des ampoules à la main, je vais te claquer très sévèrement pendant au moins trois minutes. Trois minutes, c'est court, mais ça risque de t'apparaître très long... Il ne tient qu'à toi de supporter ça en adulte courageuse ou d'effectivement te comporter en sale gamine, en pleurant et braillant, mais je tiens à ce que, rien qu'au souvenir de ce qui va t'arriver, tu sois incapable de retoucher à une cigarette. Bon, maintenant, assez discuté, tu te mets toute nue, et en travers de mes genoux."

"S'il te plait, si tu me pardonnes, je veux bien te faire une fellation, je sais que tu en rêves..."

"Les trois minutes sont devenues cinq. Tu ferais mieux de te dépêcher..."

La mort dans l'âme je retirais tous mes vêtements, terminant par le slip et le soutien gorge. Thomas s'approcha de moi, et me força à m'allonger en travers de ses genoux, alors qu'il s'asseyait sur une chaise solide.




" Claac !!!... " Claac !!!..."

Deux claques formidables venaient d'embraser ma fesse droite, puis ma gauche.

"Aie!!! ça fait mal !!!"

"Oui, les châtiments corporels sont justement faits pour ça. Mais si tu commence déjà à te plaindre, qu'est-ce que cela sera dans quelques minutes...".

"Claac !!!... Claac !!!... Claac !!!... Claac !!!... Claac !!!... Claac !!!... ".





Avec méthode, Thomas avait entrepris de me rougir les fesses en alternant de droite et de gauche, à raison d'environ un coup par seconde. Je m'efforçais de rester stoïque, mais ne pus m'empêcher d'essayer de protéger mes fesses avec mon bras droit, le gauche étant coincé derrière la chaise.

"Retire tes mains, ou je te fesse une minute de plus..."

"Claac !!!... " Claac !!!... Claac !!!... Claac !!!... Claac !!!... Claac !!!... "



Je sentais confusément que je ne pourrais longtemps retenir ni les larmes que je sentais prêtes à jaillir, ni les cris que je réprimais en m'accrochant aux brreau de la chaise. La douleur devenait affreusement cuisante alors que Thomas continuait imperturbablement, à son rythme.

"Claac !!!... Claac !!!... Claac !!!... " AaouuhHH !! " Claac !!!... Claac !!!... Claac !!!..."AaouuhHH !!…" Claac !!!... Claac !!!... Claac !!!..."Aieeeiee !! AaouuhHH !!"



Je ne pouvais pu retenir mes cris, et la fessée ne faisait que commencer. La cuisson de mon épiderme m'élançait horriblement et les efforts que je déployais inconsciemment pour me soustraire aux coups, en tortillant les fesses, étaient totalement inutiles. Mon cul subissait les effets d'un feu intense, et les cris que je poussais témoignaient de la sévérité de la correction.



"Claac !!" "Arrêtes!! .... s'il te plait…" "Claac!!…" " Aiiie!! ..." "Claac!!…"
"NOoooonnN !!!… AaouuhHH !!… AaouuhHH !!…





A mi-chemin, Thomas fit une pause et me sermonna, en disant qu'il espérait que la leçon serait profitable. Je le suppliais encore d'arrêter, mais malgré mes larmes, il fut ferme dans son intention d' aller au bout. La fessée repris au bout d'une minute environ.

"Claac!!… Claac!!…""NOoooonnN!!!... Aiiiooouuhh!!..." "Claac !!!… Claac!!!…" "AAaoouahH!!... AAaoouahH!!..."



Cette fessée me paru interminable, et lorsqu'elle fut terminée, j'étais en sueur et en larmes, et sanglotait comme une petite fille. Je dus aller au coin, mains sur la tête, pendant un quart d'heure, pour réfléchir aux conséquences de mes actes.



Puis Thomas vint me dire qu'il était temps d'aller se coucher, et me rappela ma proposition de lui faire une fellation...

"... à moins que tu ne préfère revenir sur mes genoux..."

Depuis la pratique de la fessée, mais en général moins sévère, est devenue assez courante à la maison pour corriger mes frasques. Je fais régulièrement des fellations à Thomas, mais je n'ai plus jamais touché à une cigarette.

1 commentaire:

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